Ils commencent leur carrière professionnelle chez SCHLEGEL

4 apprentis et étudiants ont été embauchés à l'issue de leur formation

Martin Bez a fait les études de la construction mécanique, Alexander Dell a suivi une formation d'agent commercial industriel, Vanessa Dollinger a appris le métier d'outilleur et Jamie Käppeler est électronicien. Qu'ont-ils tous en commun? Ils ont passé leur formation professionnelle chez SCHLEGEL et tous les quatre ont décidé de rester dans l'entreprise.

Martin Bez a terminé ses études à l'université duale (DHBW) de Horb avec une moyenne de 1,6. À l'avenir, il fera le lien entre la construction, l'ingénierie électrique, l'assurance qualité et la fabrication des matières plastiques. Ses tâches vont de l'étude des propriétés des matériaux à l'amélioration des processus de fabrication. C'est également à lui que revient la tâche d'établir des confirmations de matériaux.

Lors de ses études à la DHBW, les phases théoriques et pratiques vont de pair. Les connaissances théoriques lui ont été transmises à la DHBW et il a pu les mettre en pratique lors des phases pratiques en entreprise.

Police judiciaire ? Pathologiste ?

Alexander Dell aurait pu s'imaginer de nombreux métiers. Agent de police criminelle était en tête de liste, suivi de près par pathologiste. Maintenant, c'est devenu un peu moins exotique : le jeune homme de 21 ans a terminé avec succès sa formation d'agent commercial industriel.

Jusqu'au 1ᵉʳ octobre, il travaille dans la vente. Ensuite, il fera des études d'ingénieur commercial à la DHBW de Friedrichshafen. Il travaillera chez nous la moitié du temps et étudiera à la DHBW l'autre moitié.

Une tâche complexe

Il est venu en tant que stagiaire, est devenu apprenti et reste maintenant chez nous en tant qu'électronicien : Jamie Käppeler a terminé avec succès sa formation d'électronicien en technique d'exploitation fin février.

Avec la fin de son examen, son poste est désormais dans le service d'automatisation. La construction d'armoires électriques complexes pour les automates et les robots est l'une de ses tâches. La maintenance des automates fait également partie de son domaine de travail. Pour lui, tout va bien chez SCHLEGEL : « Tout est au top. »

Mécanicien outilleur

Vanessa Dollinger a terminé avec succès sa formation de mécanicienne d'outillage. Elle aussi reste dans l'entreprise. « Seule parmi les hommes », elle travaillera à l'avenir dans la construction d'outils. Avant sa formation, elle a fait différents stages pour explorer des domaines professionnels. Ensuite, c'était sûr : elle voulait faire quelque chose d'artisanal.

La formation chez SCHLEGEL a été la bonne décision, dit-elle. Elle a souvent appris dans un environnement formidable. Les tâches lui plaisent. Elle apprécie le fait que chez SCHLEGEL, les outils soient nécessaires et fabriqués en tant que pièces uniques